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Plume d'Ambre

31 mai 2012

Après Prague en hiver, Prague en été

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Prague en hiver, c'est la ville mystérieuse par excellence. Ses mille clochers sous la neige, sa Vltava, son architecture baroque, ses fantômes !

L'été, la ville se transforme en "Disney Land" géant, c'est la foire aux touristes. Prague perd alors de son mystère, et de son charme. Difficile d'éviter la foule dans la vieille ville, mais en s'éloignant un peu des sentiers battus, on découvre de nouveaux points de vue inattendus d'où faire de belles photos ("à découvrir ici".).

Prague reste bien plus belle et magique en hiver !

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3 septembre 2011

Un petit tour sur la côte ouest

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25 mars 2011

NYC

New York, ville de tous les superlatifs, scène idéale inspiratrice de clichés photographiques qui nous en met plein les mirettes.

Bruit, pollution, foule, malbouffe, mais aussi foisonnement culturel, diversité architecturale, chaleur humaine, ... Une ville où tout est possible. Une ville pour laquelle on se dit en la quittant : "Je reviendrai !".

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La suite de l'album ici.

6 mars 2011

Voir Venise et...

Redécouvrir Venise au mois de janvier, c'est avoir la ville pour soi. Pas de touristes, pas de stress, des Vénitiens adorables qui compensent le froid humide et paralysant. Et une lumière... particulière qui donne un côté mystérieux à la Sérinissime.

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Plus de photos dans l'album "Venise".

18 janvier 2011

J'adore le Périgord sous la neige ! Entre

J'adore le Périgord sous la neige ! Entre brouillard et flocons cristallisés, les paysages n'en sont que plus mystérieux.

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Pour en voir plus, faites un tour dans l'album "Un coin de Dordogne".

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8 novembre 2010

Ô Toulouse !

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La ville rose nous a réservé bien des surprises en ce week-end d'Octobre. D'un samedi très ensoleillé aux terrasses accueillantes, nous sommes passés à un dimanche terriblement pluvieux à la fin duquel nous avons trouvé du réconfort dans une salle de cinéma.
Malgré tout, la grisaille ne nous a pas empêché d'arpenter ses quartiers et ruelles : la Halle aux Grains, les Carmes, les Abattoirs, le Château d'eau, le Capitole, les quais de la Garonne, la basilique Saint-Sernin, le couvent des Jacobins...
Un petit tour aux Puces, une sélection des meilleurs restaurants, bref, la meilleure façon d'aborder Toulouse !

Un album vous attend dans la colonne de droite.

8 septembre 2010

30 ans déjà...

J’ai 30 ans aujourd’hui. 30 ans déjà, j’ai du mal à le croire. Le temps est passé si vite, mes souvenirs d’enfance sont encore très présents dans ma mémoire…
Les dix années de la vingtaine ont filé à toute allure et pourtant tant de choses se sont déroulées durant ce laps de temps.
Il y a dix ans (j’avais donc 20 ans) je quittais la France pour passer une année de rêve à Londres. Une année de liberté, d’aventure, de responsabilité, de socialisation, d’amitié, d’ouverture… Une année à m’occuper à mi-temps de trois enfants, à faire la fête tous les soirs (les deux n’étant pas incompatibles), à parfaire mon anglais, à me découvrir autrement.
Puis, Paris m’a accueillie la veille de mes 21 ans, le 7 septembre, pour ne plus me quitter jusqu’à aujourd’hui. Qui l’eut cru ?
Une autre vie s’est alors présentée à moi, multiple et plus difficile. Une vie de « pas complètement adulte, mais mûre et indépendante quand même ». D’Order Taker en hôtel à chargée de communication en passant par maquilleuse artistique (théâtre, cinéma, …), baby-sitter, figurante, hôtesse d’accueil, vendeuse en galerie d’art, animatrice en centre de vacances, vendeuse intérimaire au Printemps, aux Galeries Lafayette, à la Samaritaine, chez Etam…, assistante de rédaction pour un journal automobile et même, le temps d’un mois, agent de sécurité !
Ces dix dernières années ont aussi été marquées par de belles aventures, des désillusions sentimentales, la disparition d'une proche, une rupture particulièrement douloureuse, puis un nouvel amour, plus fort, plus beau, fait pour durer. La jeune femme pas confiante en elle pour un sou s'est affirmée au fil des épreuves.
De beaux voyages également qui, je l’espère, s’intensifieront les dix prochaines années : la Crète, la République Tchèque, la Norvège, la Suède, l’Allemagne, l’Espagne, la Hongrie, la Slovénie, la Croatie, la Belgique, la Hollande, l’Argentine et l’Uruguay.
En somme, le bilan est assez riche, les plus belles années sont encore devant moi, j’en suis sûre.
Trente ans, c’est mieux savoir ce que l’on veut dans la vie, avoir plus confiance en soi, se sentir femme, se sentir belle, construire de beaux projets pour l’avenir. C’est garder ses rêves d’ado en étant plus réaliste, plus terre à terre. C’est donner la vie, transmettre, c’est se réaliser.

Trente ans, quel bel âge ! Je ne regrette rien !

12 août 2010

Comme un air de vacances

De nouveaux clichés à découvrir avec une mise à l'honneur du noir & blanc. Saint-Emilion, Arcachon, le Cap Ferret, la Dune du Pyla, Berlin...
Un premier album ici, un deuxième .

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22 juillet 2010

Impression

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Après le soleil de Dordogne, retour à Paris, première vision en arrivant à Austerlitz...

1 juin 2010

Un voisin qui n'en est plus un

    Je l’avais déjà croisé quelques fois dans le quartier et dans la cour de l’immeuble, mais je n’avais jamais entendu le son de sa voix. Je le trouvais bel homme ; grand, mince, le regard d’un bleu pénétrant et un air légèrement négligé qui rajoutait à son charme. Il me paraissait jeune, pas beaucoup plus que moi mais un peu malgré tout.
Je savais qu’il habitait mon immeuble. Quand je l’apercevais, j’essayais d’imaginer quelle était son activité, sans succès. Pour moi, il aurait pu tout faire… Son image traversait furtivement mon esprit, puis plus rien un long moment.

    C’était au mois de mai. Les beaux jours étaient de retour. Je rentrais d’un long voyage dans les pays de l’Est qui m’avait apporté beaucoup d’un point de vue personnel. La rupture douloureuse qui m’avait fragilisée deux saisons plus tôt n’était plus qu’un lointain souvenir. Un mot était scotché sur la porte de l’immeuble, il annonçait la Fête des voisins pour le 26 mai. Je notai la date et n’y pensai plus. Ma vie parisienne reprenait son cours.

    Ce soir-là, j’étais fatiguée. La température avait chuté brutalement et je n’étais plus très sûre de vouloir participer à cette fête. Pourtant, l’année précédente, j’y avais passé un moment très agréable. Pour me motiver, j’invitai deux amies à se joindre à moi. Équipées d’une bouteille de vin et de quoi grignoter, nous rejoignîmes le petit groupe déjà formé. Les langues se déliaient, les regards se croisaient, la soirée battait son plein.
Mais très vite le froid me gagna et je proposai à mes amies de continuer la soirée à l’abri chez moi.
    C’est le moment qu’il choisit pour me parler, un peu hâtivement, comme si j’allais lui échapper. Nous échangeâmes des mots, mais nos regards en dirent plus long. Je lui proposai de nous suivre. Plus rien n’existait autour de nous. Nous étions isolés au milieu du groupe comme dans une scène de film où la caméra se focalise sur un personnage rendant le reste flou.
    La soirée achevée, chacun rentra chez soi. Je n’avais pas son numéro, je ne me souvenais pas de son nom murmuré après un verre de trop, mais sa rencontre avait laissé une empreinte en moi, comme une caresse.

    La semaine suivante, je me jetai à l’eau et décidai de provoquer une nouvelle rencontre. Nous étions voisins, nous allions bien réussir à nous croiser !
Le hasard faisant bien les choses, je l’aperçus le soir même en terrasse d’un café. Ni une ni deux, je l’accostai et lui proposai de m’accompagner à Bastille où je retrouvais des amies pour un verre. Malheureusement, je n’avais pas vu qu’on l’attendait dans le bar… Je repartis bredouille.
    Le lendemain, j’ai pensé lui laisser un mot dans sa boîte aux lettres pour lui proposer de me rejoindre à un concert, mais en parcourant tous les noms inscrits sur les boîtes de l’immeuble, impossible de reconnaître le sien.
    Dans un dernier espoir, je sonnai à sa porte. Il ouvrit, son portable à l’oreille, l’air ébahi. Je lui exposai le motif de ma visite inopinée en lui glissant mon numéro de téléphone au creux de la main. La balle était dans son camp.

    Un an plus tard, je me souviens de ce concert où, rongée par le doute, je trépignais sur ma chaise en consultant mon téléphone toutes les deux minutes quand il apparut, radieux et souriant. À cet instant, je sus que nous échangerions bien plus qu’un regard et des mots.  Il n’était pas venu les mains vides. Muni d’un deuxième casque et d’un gilet, il me proposa de me ramener sur sa Vespa : un geste d’attention qui ne me laissa pas indifférente…

    Aujourd’hui, il partage ma vie à quelques rues de là. Nous avons quitté la cour de nos premiers émois pour nous installer « chez nous ». Nous n’avons plus les mêmes voisins, mais c’est à notre ancienne adresse que nous irons retrouver ceux qui sont devenus nos amis pour la Fête des voisins.

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